Tu dois bientôt te faire endormir pour une intervention chirurgicale et tu te poses plein de questions sur la façon dont on va t’endormir ? Nous allons t’expliquer ici comment se déroule une anesthésie.
La première étape avant ton opération, c'est la rencontre avec le médecin anesthésiste. C'est un rendez-vous très important, et il doit se faire au moins 48 heures avant ton intervention. Il est obligatoire que l'un de tes parents ou représentants légaux soit là avec toi.
Pendant cette consultation, le médecin va te poser quelques questions pour savoir comment tu te sens, si tu es allergique à quelque chose, et si tu as déjà été anesthésie auparavant.
Il va aussi te parler de comment tu seras endormi, comment tu te réveilleras, et te donner toutes les informations sur les risques possibles.
C'est le moment parfait pour lui poser toutes les questions qui te passent par la tête.
L’anesthésiste qui s’occupera de toi le jour de l’intervention ne sera pas obligatoirement celui que tu as rencontré en consultation.
L'anesthésiste ou l'infirmier anesthésiste va placer un petit tube en plastique appelé cathéter dans une veine, généralement au niveau du bras ou de la main. C'est le meilleur moyen pour t'endormir mais il y a toujours la possibilité de te faire respirer un gaz anesthésiant. La mise en place ne dure qu'une seconde et sera vite oubliée ! L'anesthésiste en consultation peut également te prescrire des patchs anesthésiants à placer avant sur ta peau. Ce cathéter sera utilisé pour administrer les médicaments qui vont te faire dormir et pour éviter la douleur. On posera également un masque sur ton visage pour que tu puisses respirer de l'oxygène..
Une fois endormi, tu ne ressentiras rien, n'entendras rien, et ne verras rien ! Le médecin ou l'infirmier anesthésiste s'assurera que tu dors confortablement pendant toute l'intervention. Tu te réveilleras seulement après que tout soit fini dans une grande salle appelée la salle de réveil.
Le médecin anesthésiste fera en sorte que ton réveil soit aussi confortable que possible. Les médicaments contre la douleur seront administrés avant et pendant l'intervention afin d'assurer une efficacité dès que tu te réveilleras. Si, malgré cela, la douleur persiste, d'autres médicaments te seront donnés en salle de réveil, où tu resteras quelques instants avant de retourner dans ta chambre. Dans certains cas, le médecin anesthésiste peut décider d'endormir temporairement l'un de tes nerfs (pendant que tu dors) pour réduire la douleur dans la partie de ton corps qui a été opérée. Cette anesthésie particulière, appelée loco-régionale, offre un soulagement qui dure plusieurs heures après l'intervention. Tout est mis en œuvre pour que tu te sentes bien à ton réveil et dans les jours qui suivent l'intervention.
Si jamais tu te sens mal en salle de réveil ou que quelque chose ne va pas, il te suffira de le dire pour qu'on s’occupe du problème donc n’hésite pas, tout le monde est là pour ça.
Tu peux donc être tranquille !
Avant toute anesthésie, pour des raisons de sécurité, il est indispensable que vous soyez à jeun. Les règles de jeûn pré opératoire sont définies lors de la consultation et peuvent varier selon votre état de santé.
La plupart du temps :
- Vous pouvez manger jusqu’à 6 H avant votre arrivée à la clinique
Ensuite seuls les liquides clairs sont autorisés
- Il est conseillé de boire des liquides clairs jusqu’à 2 H avant votre arrivée à la clinique (eau, thé, café +/- sucré, jus de pommes ou de raisin, eau avec sirop).
- Il ne faut pas boire de lait (y compris les laits végétaux), de jus avec pulpe ou de boissons gazeuses. Ce ne sont pas des liquides clairs. Vous ne devez pas boire d’alcool la veille ou le jour de l’intervention.
- Si l’estomac n’est pas vide, au moment de l’anesthésie, il y a un risque de passage des aliments ou de liquide dans les poumons, responsable de pneumopathie potentiellement très grave.
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Qu’est-ce que c’est ?
Le syndrome d’apnée obstructif du sommeil SAOS est une pathologie qui associe un trouble de la commande ventilatoire centrale et une obstruction des voies aériennes supérieures.
Quels sont les symptômes et les facteurs de risques ?
Les symptômes sont souvent des ronflements nocturnes, la constatation par l’entourage de pause respiratoire pendant le sommeil ainsi qu’une fatigue diurne. Elle survient plus fréquemment chez l’homme de plus de 50 ans. Elle est souvent associée à d’autres comorbidités, telles que l’hypertension artérielle et l’obésité. On considère qu’actuellement environ 5% de la population souffre de cette pathologie et environ 80% des SAOS ne sont pas connus.
Comment en faire le dépistage et le diagnostic ?
Le dépistage pourra avoir lieu dès votre consultation d’anesthésie par votre médecin par le calcul d’un score de dépistage appelé STOP-BANG. En fonction du résultat, votre médecin anesthésiste vous adressera à un spécialiste pour la suite du dépistage. Des tests spécifiques (enregistrement polysomnographique, saturation nocturne en oxygène) vont permettre de conforter le diagnostic, d’évaluer la sévérité de l’atteinte et éventuellement de poser l’indication d’un support ventilatoire à domicile (CPAP). L’hôpital Privé de Provence dispose d’un centre du sommeil pour le dépistage du SAOS. Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib à l’adresse : https://www.doctolib.fr/clinique-privee/aix-en-provence/centre-du-sommeil-hopital-prive-de-provence#
Quel est le rapport entre SAOS et anesthésie ?
Les patients porteurs de SAOS présentent une sensibilité particulière aux effets dépresseurs respiratoires et aux troubles de la motricité des muscles laryngo-pharyngés induits par les agents de l’anesthésie, et plus particulièrement par les morphiniques. Le SAOS peut être à l’origine d’apnées et de désaturations en oxygène sévères qui posent problème lorsqu’elles surviennent après retour à domicile dans les suites d’une chirurgie ambulatoire et justifient une attention particulière des équipes médicales chez ces patients.
Certaines anesthésies locorégionales, telles que le bloc interscalénique, sont également pourvoyeuses de désaturations post-opératoire, venant se surajouter à celles causées par le SAOS. De plus, le SAOS est associé à la survenue d’un grand nombre de complications péri opératoires, parmi lesquelles on peut citer les difficultés d’accès aux voies aériennes supérieures (intubation difficile), les troubles du rythme cardiaque, l’instabilité hémodynamique, l’AVC, le retard à la reprise de l’autonomie respiratoire après anesthésie générale.
Le SAOS modifie-t-il mon anesthésie ?
Aucun type d’anesthésie n’est contre-indiqué. Votre anesthésiste privilégiera des produits d’anesthésie de courte durée d’action et le recours à l’anesthésie locorégionale sera réalisé dès que possible. L’objectif étant de diminuer ou de supprimer la consommation de morphinique, risquant d’augmenter le nombre et la sévérité des apnées post-opératoires.
Le SAOS modifie-t-il mon type d’hospitalisation ?
Pour les patients atteints d’un SAOS : en fonction de sa sévérité, de la présence d’un appareillage à domicile par CPAP et du type de chirurgie, l’hospitalisation en ambulatoire peut être déconseillée et nécessiter l’hospitalisation d’une nuit en service de soins continus pour surveillance continue de la saturation en oxygène. Si le SAOS est diagnostiqué et pris en charge par assistance ventilatoire à domicile, qu’il n’existe pas de comorbidités sévères ou que le SAOS est suspecté, mais peu sévère, la chirurgie ambulatoire, qu’elle soit réalisée sous anesthésie générale ou sous anesthésie locorégionale est parfaitement réalisable en ambulatoire.
Dois-je apporter mon appareil de CPAP lors de mon hospitalisation ?
Oui quel que soit le type d’hospitalisation (conventionnelle ou ambulatoire), il est indispensable de rapporter votre appareil d’oxygénation, si vous en disposez d’un. Il sera essentiel de le porter les nuits suivant votre opération, car le nombre et la sévérité des apnées après certaines anesthésies peuvent être majorés.
En ambulatoire, si pour diverses raisons médicales ou chirurgicales, vous nécessitez d’être finalement hospitalisé une ou plusieurs nuits, vous aurez votre appareil à disposition.
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En fin d’intervention, vous serez réveillé et surveillé de manière continue dans une salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI ou salle de réveil), par une équipe de professionnel, placée sous la responsabilité médicale de votre médecin anesthésiste-réanimateur. Les appareils de surveillance médicaux vous seront de nouveaux installés afin de surveiller tous vos paramètres vitaux. A votre réveil, des signes d’inconfort seront recherchés (douleur, nausée-vomissement, saignement…). En leur absence et après une durée de surveillance adaptée à votre intervention et à vos antécédents, vous pourrez regagner votre chambre.
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Il a été prouvé que le tabagisme en période péri-opératoire :
- Augmente le risque de survenue de complication médicale (infectieuse, respiratoire, cardiovasculaire…)
- Augmente le risque de complication chirurgicale (mauvaise cicatrisation, infection du site opératoire, retard de consolidation osseuse…)
- Augmente la durée d’hospitalisation et le risque de transfert en réanimation
Arrêt du tabagisme 6–8 semaines avant l’intervention entraîne la disparition du risque de complications opératoires dues au tabac
Arrêt un peu plus tardif 3–4 semaines avant l’intervention apporte sur tous les paramètres opératoires un bénéfice
Arrêt moins de 3 semaines avant l’intervention est globalement bénéfique car la diminution documentée des complications au niveau du site opératoire et cardiovasculaire relativise le risque controversé de majoration transitoire des complications respiratoires lors d’un arrêt une à deux semaines avant une intervention
Arrêt 12–48 heures avant une intervention permet une baisse du CO circulant et donc une meilleure oxygénation Poursuite de l’arrêt du tabac durant le temps nécessaire à la cicatrisation (2–4 semaines) et éventuellement à la consolidation osseuse (2–4 mois) favorise les suites opératoires simple
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Certaines interventions chirurgicales sont à risque de saignement important (chirurgie du rachis, chirurgie pour pose de prothèse articulaire…)
Dans ces cas-là, lors de votre consultation d’anesthésie, l’information sur la transfusion sanguine vous sera donnée, sans pour autant signifier que vous serez obligatoirement transfusé. En effet, des mesures d’épargne sanguine peuvent être, dans certains cas, prises par votre anesthésiste dès la consultation afin de diminuer le risque de transfusion. Cela peut aller de la simple prescription de comprimé de fer oral en cas de carence martiale, à la prescription d’érythropoïétine (EPO) en injection sous-cutanée plusieurs semaines avant votre intervention.
Cependant, il est possible que la décision de vous transfuser soit prise alors que vous serez sous anesthésie. Si vous avez dû(e) recevoir une transfusion durant l'anesthésie, nous vous en informerons dès votre réveil.
Objectif d’une transfusion sanguine :
La transfusion est un traitement qui peut être nécessaire en cas de manque :
- de globules rouges (dont le rôle est le transport de l’oxygène)
- de plaquettes (dont le rôle est la formation du caillot de sang)
- de facteurs de la coagulation
Pour chacune de ces situations, il existe un produit spécifique.
Risques :
Comme tout traitement, la transfusion comporte des avantages et des inconvénients. Elle n'est envisagée par votre médecin que lorsque les bénéfices attendus pour votre santé sont supérieurs aux risques encourus. Les complications sont rares et le plus souvent sans gravité (urticaire, réaction fébrile sans cause infectieuse). Des complications exceptionnelles, potentiellement graves, voire mortelles, peuvent survenir en cas de transfusion dite incompatible. Les précautions prises permettent de rendre exceptionnels les risques liés aux très nombreux groupes sanguins ou à la transmission de bactéries, et totalement exceptionnels ceux liés à la transmission d’infections virales, notamment les hépatites et le VIH.
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Si vous devez subir une intervention lourde et/ou si vos antécédents médicaux le nécessitent, votre médecin anesthésiste pourra, en concertation avec votre chirurgien, prévoir un séjour en unité de soins continus (USC) après votre intervention dès la consultation d’anesthésie.
Vous y bénéficierez d’une surveillance continue des paramètres vitaux (fréquence cardiaque, pression artérielle, saturation en oxygène) par une équipe spécialisée, composée d’un médecin réanimateur et d’infirmier(e)s présents 24h/24 et 7jours/7.
Votre suivi post-opératoire est assuré alors, par une équipe pluridisciplinaire composée de votre anesthésiste, de votre chirurgien et du réanimateur.
Lorsque les conditions médicales et chirurgicales le permettront, vous pourrez alors, être transféré en service de chirurgie conventionnel.
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